Tuesday, May 26, 2009
Saturday, May 9, 2009
Échapper...
C'est ça: tu suis les règles, t'es malheureux (parce que ce n'est pas ce que tu veux vraiment faire- tu fais ce qu'on t'a dit à faire). Et puis tu fais ce que tu veux, on t'arrête, et là t'es pas content non plus!
Comment vivre dans une société où on ne peut jamais être content et surtout heureux ?
Nos sociétés se caractérisent finalement par des excès de civilisation. Tout le monde suit les règles : tout le monde doit être gentil, tout le monde doit entrer de la porte d'avant du bus, tout le monde (ne doit pas mais) marche à la droite sur le trottoir, tout le monde doit payer 90 euros d'amende si une deuxième personne se met sur ton vélo, amende si tu bois une bière dans la rue, et c et c et c... Trop d'organisation tue le bonheur!
Les gens n'en peuvent plus! Ils veulent partir, revenir à l'état sauvage, re-devenir soi-même. Revenir à la nature, sortir des sociétés qui stressent, qui imposent, qui tuent la créativité et la diversité.
Partiiiir! Échapper de ce que l'espèce humaine a créé, cette logique limitatrice qui l'a encadrée et l'a emprisonnée, de ce qui finalement tue son essence : la singularité de chacun.
LnJos
Comment vivre dans une société où on ne peut jamais être content et surtout heureux ?
Nos sociétés se caractérisent finalement par des excès de civilisation. Tout le monde suit les règles : tout le monde doit être gentil, tout le monde doit entrer de la porte d'avant du bus, tout le monde (ne doit pas mais) marche à la droite sur le trottoir, tout le monde doit payer 90 euros d'amende si une deuxième personne se met sur ton vélo, amende si tu bois une bière dans la rue, et c et c et c... Trop d'organisation tue le bonheur!
Les gens n'en peuvent plus! Ils veulent partir, revenir à l'état sauvage, re-devenir soi-même. Revenir à la nature, sortir des sociétés qui stressent, qui imposent, qui tuent la créativité et la diversité.
Partiiiir! Échapper de ce que l'espèce humaine a créé, cette logique limitatrice qui l'a encadrée et l'a emprisonnée, de ce qui finalement tue son essence : la singularité de chacun.
LnJos
Sunday, May 3, 2009
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